4. Difficile à approvisionner même si l'on possède une organisation économique étendu.
5. Tout cela pourrait être évité en créant un peloton de mitrailleuses lourdes auprès de chaque compagnie du bataillon et un peloton de mortiers lourds 4,2 au quartier général de la brigade dans la compagnie de commandement.
Et même si l'escadron C.K.M s'est acquitté de sa tâche à 100 %, il semble tout de même que son existence en tant qu'unité autonome est dépourvue de tout intérêt.
Il s'agit plus ou moins de la question de l'existence et du fonctionnement de l'escadron au sein et sous le commandement polonais. Tactiquement, l'escadron n'a pas été utilisé correctement. Il n'a jamais été un atout dans les mains du commandant de brigade, qui aurait dû l'utiliser lorsque la situation l'exigeait. Réparti entre les bataillons, que ce soit nécessaire ou non, il a perdu sa valeur en tant qu'arme en mouvement à forte puissance de feu et à grande mobilité.

Kazimierz Duda - Chroniques de guerre - 8 août 1944 au 10 janvier 1945 - Page 113